j'ai ce grand château thoracique dans lequel brillent au noir mes milliers d'arrêtes. parfois j'y récupère les écailles de ta peau que j'avale au son de mes lèvres et je les dépose une à une dans la petite vallée afin de me protéger du froid. je deviens la sirène des deux monts sous la glace. viens pêcher; tu n'as pas coupé tes ongles depuis. mêmes les grands fictifs s'adonnent aux caprices compulsifs. il suffit de découper pour voir le ciel sous la nappe des eaux figées. et mes yeux s'ouvrent à la soif de la lumière.
Wednesday, January 7, 2009
cut, cut, cut;
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1 comment:
Oh comme j'ai soif de lumière moi aussi...
Merci pour cette visite chez moi qui m'a indiqué le chemin.
et merci pour le lien :-)
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